(Jean 13:1)
Il y a ici un fait qui devient pour nous une promesse:
- ce que notre Sauveur était, Il l’est encore
- ce qu’Il a fait pour les bien-aimés avec qui Il vivait sur cette terre, Il le fera encore, tant que le monde durera
qui avait aimé les siens
N’est-ce pas merveilleux ?
Qu’Il puisse avoir aimé les hommes tels qu’ils sont, c’est un miracle !
Qu’y avait-il dans ses pauvres disciples pour qu’Il les aimât ?
Et qu’y a-t-il en moi ?
Mais quand Jésus a commencé d’aimer, Il est dans sa nature de continuer à aimer.
Cet amour fait des siens des saints - titre béni !
Il les a acquis par son sang, et ils sont son trésor.
Comme ils sont les siens:
- Il ne les perdra pas
- Ils sont ses bien-aimés
- Il ne cessera pas de les aimer
Mon âme, dis-toi qu’il ne cesse jamais de t’aimer !
Il les aima jusqu'à l'extrême
La passion dominante qui, jusqu'à sa mort, remplit le coeur du Sauveur, fut l’amour des siens.
Il les aima autant qu’il est possible d’aimer, jusqu'à se donner et mourir pour eux:
Il ne pouvait faire davantage.
C’est l’amour parfait, dans lequel il n’y a
- ni exaltation
- ni retour
- ni infidélité
- ni réserve
et qu’Il a prodigué à tous les siens avec abondance.
C’est là l’amour de Jésus pour tous ceux qui font partie de son peuple.
Chantons en retour un cantique à notre Bien-aimé.
Charles Spurgeon