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Pourquoi pardonner à ceux qui nous font du mal ?

La réponse est simple : en ne pardonnant pas, nous nous détruisons nous-mêmes, et nous influençons négativement notre entourage.

La Bonne Nouvelle de Jean commence ainsi :

A la base de tout est le Logos (le langage, l'information)

Tout est information :

  • la matière est informée par les différents niveaux de particules qui la constituent
  • ces particules sont elles-mêmes le résultat de l'information de base (le Logos)
  • la vie est informée par des codes (ADN, etc.) eux-mêmes résultant de la matière résultant du Logos
  • nos pensées sont de l'information
  • ce que l'Esprit de Dieu qui remplit l'Univers transmet est de l'information
  • etc.

Cette information du Logos sous-tend toutes les autres (celle de la matière, celle de la vie, etc.)

Notre comportement aura par conséquent une mauvaise influence s'il est négatif, car il ira à l'encontre de l'Esprit saint : en lui résistant (en ne pardonnant pas, p.ex.), il crée de l'information destructrice qui ira à l'encontre de la vie et de La Vie.

A méditer...


Le problème, en ce qui concerne le doute

Le problème, en ce qui concerne le doute, c'est que notre âme ne veut pas toujours s'abandonner complètement au Seigneur. Elle est encline à se réserver un petit domaine personnel de liberté de douter, considérant que c'est une nécessité pour elle. Elle dira alors : "Oui, je ne veux plus douter," ou "j'espère que je ne vais plus douter !" Mais elle a du mal à parvenir au point où elle dira : "Je suis décidé à ne plus douter". Aucune consécration ne sera effective, tant que l'on ne dira pas : "Je ne veux plus !" Nous devons renoncer pour toujours à notre liberté de douter ! Notre âme doit consentir à vivre continuellement dans la confiance en Dieu et dans la foi. Je crois qu'il est souvent nécessaire de conclure une transaction définitive avec Dieu, concernant le doute. Je crois qu'il faut traiter le doute comme vous traiteriez l'ivrognerie. On n'arrête pas progressivement de boire ! Cela ne servirait à rien. On arrête d'un coup et définitivement. La volonté de s'abstenir complètement est la seule méthode efficace.

Ensuite, une fois que vous avez abandonné au Seigneur votre volonté de douter, votre âme doit se confier absolument au Seigneur pour qu'Il vous délivre chaque fois que vient la tentation de douter. Nous devons élever le bouclier de la foi dès que l'assaut se produit. Nous devons abandonner au Seigneur la toute première suggestion de douter. Nous devons même dire au diable de régler le problème directement avec le Seigneur ! Nous devons refuser d'écouter toute pensée de doute, même un seul instant. Parfois, le doute vient sous le déguisement de l'humilité. Mais nous devons simplement dire : "Je refuse de douter. Je dois croire. Le Seigneur est bon, et je sais qu'Il m'aime. Jésus m'a sauvé, et Il me sauve maintenant même ! Jésus me sauve ! Jésus me sauve !" Ces trois petits mots mettront en fuite la plus grande armée de doutes qui pourrait nous assaillir.

Je l'ai moi-même pratiqué d'innombrables fois, sans jamais connaître une seule défaite ! N'essayez pas de discuter avec vos doutes ! N'essayez pas de les convaincre qu'ils ont tort ! Ne leur accordez aucune attention. Traitez-les avec le plus profond mépris ! Claquez-leur la porte, et refusez avec force d'écouter la moindre de leurs paroles. Dites aussi : "Il est écrit … !", et lancez-leur la Parole de Dieu au visage. Gardez les yeux sur Jésus, et dites-Lui que vous Lui faites confiance, que vous êtes décidé à Lui faire confiance. Laissez les doutes crier tant qu'ils le veulent. Ils ne pourront vous faire aucun mal, tant que vous ne les laisserez pas entrer.

Je sais qu'il vous semblera parfois que vous claquez la porte au nez de vos meilleurs amis. Il se peut que votre coeur languisse après vos doutes, comme le coeur des Israélites languissait après les oignons et les pots de viande de l'Egypte. Mais renoncez à vous-mêmes, chargez-vous de votre croix, et refusez sans merci d'écouter le moindre doute !

source


Dieu souffre de notre non-foi

La foi, c'est avant tout, non pas une croyance, mais la confiance, confiance en l'amour de Dieu (1).

On est aussi proche de Dieu qu'on veut bien l'être, alors faisons passer notre fidélité en la grâce de Dieu avant notre propre vie...!

Dieu nous a justifiés - rendus justes à ses yeux - et fait de nous des frères et soeurs de Jésus, du fait que Jésus a pris sur Lui notre péché (qui est notre propension à rater l'objectif) : Jésus étant juste, Dieu nous a adoptés (2) en tant que frères et soeurs de Jésus, et nous voit aussi justes que Lui. Nous sommes saints, à savoir mis à part, pour Lui.

Nous ne pouvons vraiment profiter du fait que nous soyons en quelque sorte déjà au ciel (qui est la dimension spirituelle de l'être humain : "le Royaume est en vous") si nous restons éloignés de Dieu, comme des enfants distants de leur Père, au lieu de profiter de la liberté qu'Il nous offre (libérés du monde), source de repos, de paix et de joie.

Ayons la sagesse de discerner où nous en sommes dans notre vie spirituelle...!

(1) On peut aussi avoir foi en des mensonges, c'est pourquoi il est bon de préciser à quoi et surtout à qui elle se rattache.

(2) A l'époque de Jésus, quelqu'un qui était adopté était considéré comme né de nouveau, une seconde fois, de nouveaux parents, la première fois étant la naissance de parents biologiques. Spirituellement parlant, la première fois est la naissance terrestre, d'en-bas, et la seconde est la naissance spirituelle, d'en-haut, du fait que c'est Dieu qui nous adopte.

(Lire entre autres 1 Pi 1:3)

L'"amour de Dieu" ne suffit pas

"Il ne suffit pas de prétendre adorer Dieu si l'on se tourne vers autre chose que le Dieu de Jésus Christ qui est amour, paix, liberté, grâce et pardon. L'"amour de Dieu" ne suffit pas. La foi peut être mal orientée, ou se tromper d'objet, comme dans l'intégrisme ou certaines dérives sectaires. Il faut aimer Dieu et être jaloux pour Dieu en n'adorant que le Dieu d'amour, de pardon, d'esprit et de grâce. Rien d'autre."

Louis Pernot, Le Cantique des cantiques, p. 388


Il nous émonde

Une épreuve est aussi douloureuse qu'un coup de serpette sur un sarment, mais elle est faite pour fortifier le disciple et l'aider à produire de meilleurs fruits.

Le coup de serpette qui coupe et celui qui émonde nous paraissent être les mêmes, mais, en réalité, il n'en est rien. Emonder, ce n'est pas couper - émonder, c'est oeuvrer plus en profondeur.

Une épreuve nous touche dans la profondeur de notre être, elle nous fait souffrir car elle nous atteint parfois dans notre amour pour Dieu - cependant, elle n'est pas faite pour supprimer notre amour, mais pour le purifier, comme Dieu seul sait nous purifier en profondeur.

Une épreuve est remplie de l'amour infini de Dieu pour nous et de son espérance dans l'attente de ce que chaque sarment donnera de meilleur.

L'amour de Dieu pour nous est infini, et chaque épreuve que nous vivons déborde de cet amour-là.

Philémon de Gaza médite l'Évangile de Jean, pp. 484-485


Vie de plénitude

Si tu considères le mépris comme une louange,

la pauvreté comme une richesse

et la faim comme un festin,

tu ne mourras jamais.

(Macaire)

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Le site qui vous dit la vérité sur l'Apocalypse (cliquer sur les images)

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