Au Calvaire, quand Dieu regardait Jésus, Il nous voyait, nous.
A présent, quand Il nous voit, Il voit Jésus.
Dès lors, nous pouvons rester sereins, reposés (c'est le vrai sabbat), car tout concourt à notre bien. En cas de difficulté, c'est Dieu qui combat pour nous.
Il vit en nous: c'est l'Arbre de Vie.
L'autre arbre, celui de la connaissance du bien et du mal, n'a plus prise sur nous.
Ce qui importe n'est plus ce qui nous arrive - en "bien" ou en "mal" - mais comment nous y réagissons. Reconnaissons-nous le Seigneur dans toutes nos voies ?
Si oui, nous ne l'aimerons plus pour être sauvés, mais parce que nous sommes sauvés...
(autrement dit: nous ne ferons pas des oeuvres pour être sauvés, mais parce que nous sommes sauvés).