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Notre Père ICI et MAINTENANT

Toi qui es notre Père - ici, maintenant
Toi qui es aux Cieux - où nous sommes aussi - ici, maintenant

Que Ton Nom soit mis à part - ici, maintenant

Que Ton Règne vienne - en nous - ici, maintenant

Que Ta Volonté soit faite - en nous - ici, maintenant
Sur notre terre - intérieure - ici, maintenant
Comme dans notre Ciel - intérieur - ici, maintenant


Donne-nous notre Nourriture spirituelle - ici, maintenant

Remets-nous nos dettes - à tous les niveaux - ici, maintenant
Comme nous remettons à nos débiteurs - à tous les niveaux - ici, maintenant

Ne nous laisse pas tomber lors d'épreuves
Mais délivre-nous du malin - ici, maintenant

Car à Toi appartiennent - ici, maintenant
Règne, Puissance, Gloire
En Plénitude - ici, maintenant

Qu'il en soit ainsi - il en est ainsi
Maintenant, ici


Avez-vous peur de Dieu après avoir chuté ?

La peur est le contraire de l'amour (1), et par peur de la réaction de Dieu, le premier réflexe de beaucoup est de s'éloigner de Lui lorsqu'ils ont péché (2).

Or, Dieu est notre Père, et notre premier réflexe devrait être de nous jeter dans Ses bras lorsque nous avons chuté.

Mais, direz-vous, Il m'a choisi et pourtant je suis tombé.

Eh bien justement, en vous choisissant Il savait à l'avance tout ce qui allait vous arriver (3)...

Dites-Lui tout, sans peur, car Il sait déjà tout cela et vous attend avec Amour.

Pécher n'est pas une bonne raison de s'éloigner encore plus de Lui en le fuyant, mais c'est au contraire une bonne raison pour s'approcher de Lui afin d'être consolé et de reprendre des forces auprès de Lui.

Mais, direz-vous, la Bible nous demande d'être parfaits !?

Parfaits, oui, mais dans le sens de "complets", à savoir complétés, par Lui : si vous Le laissez faire en vous, à votre place, par l'Esprit saint, vous serez complété par Lui, donc parfait...

Vous serez même saint, à savoir mis à part pour Lui.

Mais, direz-vous, pourquoi laisse-t-Il l'ennemi me tenter ?

Il ne laisse pas l'ennemi vous tenter, mais Il laisse l'adversaire vous éprouver, pour vous faire grandir dans la foi.

A méditer...


(1) La haine n'est pas le contraire de l'amour, mais la conséquence de la peur, qui elle est le contraire de l'amour.

(2) "Pécher" signifie "rater l'objectif" (de Dieu)

(3) Il a choisi Pierre, qui L'a renié, Il a choisi Judas, qui L'a livré...


Être là où Il EST

Soyons JE SUIS, afin d'ÊTRE là où Il EST.

Car il y a plusieurs demeures dans la maison du Père (début de Jean 14).

Or Sa maison, c'est le Temple.

Et du fait que nous SOMMES le Temple, le Temple de l'Esprit saint (1 Cor 3:16), c'est en nous qu'Il prépare une place - Il ne peut y habiter pleinement qu'après avoir débarrassé toutes les demeures en nous de nos 3 ennemis : la chair, le monde et le diabolos.

Alors NOUS SOMMES JE SUIS dans celles où Il fait Sa demeure, à savoir toutes, si nous Le laissons faire.

Conclusion : ne résistons pas à l'Esprit saint, ne péchons pas contre Lui, si nous voulons que ce Temple que nous sommes soit pleinement habité par Celui qui EST...!


voir aussi Il y a plusieurs demeures dans la maison de mon Père et Jean 14:3: Je reviens

et aussi cette vidéo


La vraie racine du problème

1. On dit souvent qu'il faut attaquer un problème à sa racine, plutôt qu'à ses conséquences.

2. On dit aussi que l'essentiel n'est pas le problème, mais comment on y réagit.


Prenons un exemple :

- Il vous arrive un problème, et vous y réagissez...

- Quelle sera la vraie racine à laquelle s'attaquer, ce qui vous est arrivé, ou votre réaction ?

- D'après la sentence 2., la vraie racine du problème à laquelle s'attaquer est votre réaction...

De plus, si vous décidez de vous-même ce qui est bien et ce qui est mal, ce que la Bible appelle "manger de l'arbre de la connaissance du bien et du mal", l'essentiel ne sera définitivement pas ce qui vous arrive, mais votre réaction à ce qui vous arrive, qui sera la vraie racine du vrai problème si cette réaction est inappropriée du fait que votre notion du bien et du mal vient de vous...

Il y aura même double problème : votre appréciation du problème sera faite sur votre propre critère du bien et du mal, ainsi que votre solution...

Mais ce double problème n'existera plus lorsque votre évaluation du problème et votre réaction seront adéquates... car ce qui vous arrive sera vu comme une épreuve destinée à provoquer une réaction qui vous indiquera où vous en êtes dans votre relation à vous-même, aux autres, et à Dieu, et votre "problème" n'en sera plus un, car vous le reconnaîtrez comme indicateur de votre état spirituel plutôt que comme un "problème"...

En résumé :

Mauvaise réaction :

1. un "problème" se présente

2. j'y réagis en le qualifiant de "mal"

3. je corrige ce qu'il n'y a pas à corriger : ainsi, ce "problème" s'auto-alimente...

Bonne réaction :

1. un "problème" se présente

2. j'y réagis en l'acceptant comme une épreuve indicatrice de mon état spirituel

3. je corrige ce qu'il y a éventuellement à corriger (soit le "problème", soit ma réaction première, ou encore les deux) : ainsi, ce "problème" devient une aide, et non pas un obstacle...

L'expérience n'est pas ce qui arrive à l'homme, c'est ce que l'homme fait de ce qui lui arrive

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Tout est à prendre à la racine, pas seulement les "problèmes".

Ainsi, Jean commence son évangile par "Dans le Principe était..." : quelle est la racine de tout ?

De même, le Livre de l'Apocalypse, bien plus que le descriptif d'événements à venir, décortique avant tout des états intérieurs de l'âme humaine, états racine du comportement humain, qui déteignent sur la société et, au bout du compte, font l'Histoire.

Comment réagissez-vous à cela ? Cela vous crée-t-il un "problème" ? Si oui, quelle est sa racine ?

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N.B. Les deux sentences du début de l'article peuvent, prises ensemble, sembler problématiques au premier abord, car on peut en déduire que notre réaction au problème dans la sentence 2. est une conséquence du problème de la sentence 1., et que par conséquent la racine du problème de la sentence 1. à laquelle on doit s'attaquer est autre que notre réaction de la sentence 2., selon la sentence 1.... (vite, une aspirine...!)

Cependant, en creusant un peu, on s'aperçoit que puisque le vrai problème est comment on y réagit (selon la sentence 2.), on s'y attaquera plutôt qu'aux conséquences (selon la sentence 1.) qui sont en fait celles de notre réaction, puisque notre réaction est le vrai problème (selon la sentence 2.)... (encore une aspirine ?)

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